La tolérance à l'échec : le permis à points contractuel

Contrats
Outils
TAILLE DU TEXTE

Qui n'a pas été témoin de l'échec d'un projet informatique ? On peut longtemps disserter sur le sens d'échec. Est-ce qu'une augmentation de 15% du prix projeté constitue un échec ? Quid d'un retard de deux mois sur un projet qui en compte six ?

Il n'y a pas de réponse standard. Là n'est cependant pas le propos de ce billet. Plus intéressante est la question de savoir si tous les échecs doivent être logés à la même enseigne et s'il faut se limiter dans nos contrats informatiques à ne gérer, en dehors des pénalités de retard, que les situations extrêmes pouvant ou devant conduire à la résolution du contrat.  Une réflexion sur l'échelle des échecs  Certaines circonstances peuvent venir tempérer la notion d'échec dans un projet informatique :  - Le projet peut être découpé en (...)

L'article complet est réservé aux abonnés

Vous êtes abonné(e) à LegalNews ? Identifiez-vous
Je m'identifie
Pour découvrir nos formules d'abonnement,
Je m'abonne