Aline Jacquet-Duval, avocate, ancienne DRH, devient présidente de l'UGEF, l'Union des Groupements d’Employeurs de France (UGEF).
Aline Jacquet-Duval, avocate, ancienne DRH, devient présidente de l'UGEF, l'Union des Groupements d’Employeurs de France.
Elle a été élue lors de l'Assemblée Générale du 9 juin 2011, pour un mandat de 3 ans, avec un nouveau conseil d'administration. Ensemble, ils vont poursuivre la dynamique
pour l'emploi que privilégie les Groupements d'employeurs.
Dans le contexte de la proposition de loi Cherpion-Perrut-Taugourdeau concernant le développement de l’alternance, la sécurisation des parcours professionnels et le partage de la valeur ajoutée et dont le but est de renforcer l'apprentissage et les groupements d'employeurs, l'élection de cette nouvelle équipe et de sa présidente prend tout son sens.
L'UGEF représente 300 groupements d'employeurs, soit déjà plus de 12000 emplois, dont plus de la moitié en CDI, dans 10000 entreprises, une véritable "dynamique emploi" que l’organisation souhaite amplifier, notamment en intégrant des entreprises de plus de 300 salariés. Or celles-ci font face à de réelles difficultés aujourd'hui pour utiliser ce dispositif.
Aline Jacquet-Duval mènera son action dans le cadre des missions de l'UGEF, elle agira surtout sur la promotion du dispositif du Groupement d’Employeurs, encore trop peu connu, et sur la fonction d’interlocuteur privilégié des partenaires sociaux et des pouvoirs publics. Elle démontre une nouvelle fois son engagement en faveur des nouvelles formes d’organisation du travail.
Aline Jacquet-Duval est Avocate au barreau de Paris depuis 1992, elle est spécialisée en droit social. Auparavant, elle a été responsable des ressources humaines et relations sociales de grands groupes français (SCAC et FNAC), et conseiller prud'hommes. Elle a fondé le cabinet Jacquet-Duval Avocats avec Anne de Metz, et elles ont choisi de le placer sous le signe de l'ingénierie et la prévention sociale par le droit et l'éthique. La double expérience d'Aline Jacquet-Duval des contraintes économiques et de celles du droit lui a permis de développer une pensée sur le droit de l'entreprise, structurée par la notion d'éthique.
